Miss Peregrine Et Les Enfants Particuliers 2. Hollow City
22:13:00
« Cette idée me plaisait : que la particularité ne soit pas un manque, mais quelque chose en plus. J'aimais penser que l'on possédait quelque chose qui faisait défaut aux gens normaux, plutôt que le contraire. Que nous étions augmentés, et non diminués. »
Saga : Miss Peregrine Et Les Enfants Particuliers
Auteur : Ransom Riggs
Éditions : Bayard Jeunesse
Année : 2014
Genre : Jeunesse, Fantastique
Nombre De Pages : 502
Synopsis : Jacob et les enfants particuliers sont désemparés : Miss Peregrine, changée en oiseau, est prisonnière de son état, suite à l’attaque des Estres, des âmes damnées, sur l’île Cainholm. Les voilà donc livrés à eux-mêmes ! Après avoir essuyé une tempête entre Cainholm et le continent, Jacob et ses amis s’échouent sur une rive de Grande-Bretagne, en 1940, alors que la Seconde Guerre Mondiale fait rage. Entre fuir des Estres déguisés en soldats, des rencontres avec des animaux singuliers, et la recherche de la dernière Ombrune en liberté afin de redonner à la directrice de l’orphelinat sa forme humaine, cette deuxième aventure de la série s’annonce palpitante et pleine de frissons !
Mon Avis :
Le premier tome de Miss Peregrine et les enfants particuliers avait été pour moi un coup de coeur sans précédant. Ce deuxième tome m’a un peu déçu. Pourquoi? J’ai trouvé que l’histoire était un peu longue malgré les rebondissements et les rencontres, j’ai mis un certain à le lire. Malgré tout, on a le droit à un Énorme Rebondissement dans les 50 dernières pages.
Dans ce deuxième tome, on suit les enfants particuliers dans leur périple pour sauver leur ombrune Miss Peregrine. Ils vont faire des bonnes et des mauvaises rencontres, aller de boucles en boucles, de Cainholm à Londres. On en apprend un peu plus sur les différents personnages et sur leur passé.
Je dois dire que la fin, qui est purement géniale et imprévisible, m’a motivé à lire le troisième tome. Je lui donne malgré tout une bonne note en espérant que le troisième tome ne me déçoivent pas, tout simplement parce que j’adore cet univers.
Note :
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